Un "art infiltrant" :
Le portrait à même les murs de la ville est son mode d'expression; la ville qu'il qualifie de "plus grande galerie du monde", son terrain de jeu.
Les portraits d'anonymes en grand format et noir et blanc en font sa marque de fabrique. Selon lui, exposer dans les villes permet de toucher le plus grand nombre de gens, notamment ceux qui ne fréquentent pas les musées habituellement. JR instaure donc une proximité entre lui et ses spectateurs.
« J’aimerais amener l’art dans des endroits improbables, créer avec les communautés des projets tellement grands qu’ils forcent le questionnement. Tenter dans les zones de tensions comme le Moyen Orient ou le Brésil qui sont fortement médiatisées, de créer des images qui offrent d’autres points de vue que celles, réductrices, des médias globalisés. »
Il ne donne aucune interprétation de ses œuvres, mais soulève certaines interrogations.
Son travail mêle à la fois liberté et un mélange d'art et d 'action.
Beau travail, la rédaction est bien construite, l'apparence du blog est agréable à l'oeil, tous les critères sont réunis pour donner envie aux internautes de rester sur ce blog.
RépondreSupprimerPour ma part le seul point à revoir est la présentation qui est un peu courte, cependant vous reprenez celle ci dans les autres onglets donc rien d'important.
Bravo
Merci, en ce qui concerne la présentation, il faut savoir que JR tient à rester anonyme, c'est pourquoi nous avons peu d'informations sur lui-même, mais plus sur son art.
SupprimerPersonnage intéressant, et site agréables à l'oeil.
RépondreSupprimerPeut-on qualifié son art comme du street art ?
Pour ma part, sur la forme son art correspond bien à du street art, car JR utilise la rue comme support d'expression. En revanche sur le fond, je trouve son art très engagé, il ne se contente pas de créer simplement quelque chose d'artistique, mais il veut amener le spectateur à réfléchir sur ses photographies.
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